AVERTISSEMENT : Ce billet contient beaucoup de memes pour bien exprimer les points suivants.
Le temps passe vite quand :
Tu snoozes ton alarme du matin.
Tu fais infuser ton thé, tu te dis que tu ne mettras pas d’alarme pour 5 minutes et tu te souviens que tu as un thé 20 minutes plus tard.
Il faudrait que tu aies ton 8 heures de sommeil, mais que l’univers a décidé que de dormir le soir est overrated.
Tu es dans ta douche.
Tu as passé le cap des 20 ans.
Tu es en vacances, sur le bord de la plage, sans soucis, sans responsabilités.
Tu as un deadline de remise et qu’il reste moins de 24 heures, même si tu avais 2 mois pour finaliser le tout et que tu t’étais répété : « J’ai en masse le temps, je vais faire ça plus tard ».
Tu découvres une nouvelle série et Netflix te demande si tu es toujours là.
Tu écoutes ta toune préférée sur repeat et tu te rends compte que tu abuses un peu, parce que ça fait 8 fois qu’elle joue.
Tu réalises que tu viens de parler d’une gang d’ado en disant « les jeunes ».
Et il ne passe pas assez vite quand :
Tu écris à un ami et que tu veux une réponse tout de suite.
Tu viens de regarder une bande-annonce et que le film est annoncé pour 6 mois plus tard.
Tu attends l’autobus.
Tu as 15 ans et les 18 ans sont si loin.
Le trafic est à son apogée et tu as choisi ce moment pour aller chercher un truc qui ne pressait pas tant que ça finalement.
Il est 15 h un vendredi, avant la fin de semaine de congé.
Ton ventre te fait une crise de faim existentielle et ta commande n’arrive pas (ou qu’il est seulement 10 h 45).
Tu es déjà en retard pour la job et tu observes tous les faits et gestes du chauffeur de bus, qui prend clairement son temps.
Tu fais ton jogging et la toune qui annonce la fin de ton parcours est interminable.
Tu veux écouter un vidéo sur Youtube et tu dois attendre 15 secondes avant de pouvoir skipper la pub.
Une personne/connaissance te raconte sa vie de long en large et tu veux être poli, donc tu acquiesces à tout en attendant que quelqu’un d’autre arrive pour prendre ta place.